Les stands

Autour du jardin chinois du parc de Maurepas seront installées des tentes, on y trouvera :

Des théiculteurs

Thomas Bernardi, le créateur de la ferme pédagogique Les Landes vivantes, spécialisée dans le thé.

Michel Thévot, qui produit du thé dans la vallée du Guillec dans le Finistère avec le Moulin de Kérouzéré, et qui proposera des plants de thé à la vente. (retrouvez le portrait de Michel sur la présentation de la fête du thé 2022)

Des céramistes

Henri Ackermann, Aude Clabé, Michaela Kergaravat, Benoît Lamy avec des théières, tasses, bols… proposeront leurs productions à vendre, ainsi qu’Aurélie Decouland qui s’adonne à l’art japonais de réparer les bols – le kintsugi, adapté en micatsugi. Présentations plus complètes ci-dessous.

Du thé

Avec La Route des Comptoirs, maison de thé basée à côté de Nantes, et qui propose des thés bio, dans des recettes maison ou nature.

Avec Laurence Gillet de Seasonalitea, ce sont des thés d’exception qui seront proposés au public à la dégustation, mais aussi à la vente.

À boire et à manger

Avec Bubble Ramen qui proposera le fameux thé aux perles de tapioca (le « Bubble tea« ) et quelques petites douceurs d’inspiration japonaise. Le thé est bio et les perles sont sans arômes ou colorants artificiels. Cette boutique rennaise sera présente à la fête du thé !

Avec l‘Institut Confucius qui proposera les chayedan 茶叶蛋  (œufs aux feuilles de thé) et les zongzi 粽子 de saison.

Avec les Agi’thés qui tiendront un bar à thé ouvert à tous et à participation libre, et accueilleront également Thomas Aubepart pour des ateliers découverte du thé.

Des livres

Une sélection d’ouvrages sur le thème du thé seront proposés à la vente par l’Institut Confucius.

Le Jardin chinois de Rennes

Les Agi’thés et le Comité de jumelage Rennes-Jinan seront là pour présenter leurs activités, et en particulier “Le jardin chinois de Rennes” dont le chantier est bien avancé. Des visites commentées par François Beau, charpentier et responsable de l’association Des Hommes et des arbres qui est maître d’œuvre des fabriques du jardin, sont proposées pendant l’après-midi.

Le lycée horticole d’Hennebont

Le projet thé du lycée horticole d’Hennebont (Morbihan), construit à l’origine avec le théiculteur local Denis Mazerolle, se développe actuellement avec une multitude de professionnels bretons du secteur des végétaux (pépiniéristes, maraîchers, paysagistes). Il s’articule autour de trois grands axes relatifs aux missions de l’enseignement agricole : la pédagogie, l’animation et le développement du territoire ainsi que l’expérimentation. Il a pour vocation finale un développement de la filière « thé » en France.

Les associations culturelles

Encres de Chine, l’association qui promeut les arts du pinceau, calligraphie et peinture traditionnelle, sera présente et proposera des démonstrations.

Breizh-Mahjong, le club de mahjong, proposera des initiations.

L’École de go de Rennes proposera des initiations au jeu de go et un mini-tournoi.

Les conférences et rencontres

Toute l’après-midi, des rencontres sont organisées sous le pavillon chinois

• 15h : Conférence de Gilles Brochard

  Grâce, saveurs et spiritualité du thé
  Éloge d’une boisson millénaire entre Orient et Occident

  Gilles Brochard évoquera pendant cette conférence, de façon personnelle, sa passion pour le thé, en s’appuyant sur les traditions et les rituels qui y sont liés, en partant de la Chine et du Japon et en essayant de dessiner une sorte de « carte du tendre » du thé pour arriver jusqu’à nous. Certains traités ou livres qui ont fait avancer le regard que le consommateur porte sur le thé dans le monde seront cités, et aussi certains parallèles que l’on peut trouver concernant tout ce qui touche aux rituels, notamment celui du gongfucha et du chanoyu.

  Outre certains ouvrages consacré au thé (Le Thé dans l’encrier, Le Livre du thé, en collaboration, Petit Traité du thé, La Boîte à thé…), Gilles Brochard a publié en novembre 2018 Un Thé chez les tigres, Journal d’un buveur de thé en Inde et au Népal, et en septembre 2019 un guide de 300 pages consacré à 65 pâtissiers parisiens, Mon Paris sucré. Il a cofondé le premier Club des Buveurs de thé avant de créer avec Monica Meschini à Florence The Tea Tasting Institute. Il est président d’honneur de La Confrérie du thé et secrétaire général du nouveau club L’Esprit du thé. Il a animé des ateliers du thé chez Fauchon et la première croisière sur le thé à bord du Club Med 2.

• 17h : Rencontre avec Thomas Bernardi (Les Landes vivantes), Jeremy Tamen (ANVPTF), Marine Chotard (Lycée horticole d’Hennebont)
  

  La théiculture en France, développement d’une filière
  

Les Landes vivantes, c’est une une ferme de cinq hectares qui se visite en plein bocage ligérien, entre Nantes et Rennes, limitrophe de l’étang de Gruellau, d’un site naturel d’exception classé zone naturelle d’intérêt écologique pour sa faune et sa flore. Une ferme aux allures de réserve de biodiversité sur laquelle se côtoient un grand nombre d’espèces, végétales et animales. Cette ferme où poussent myrtilles, framboises, cassis, amélanches, groseilles, et bien d’autres fruitiers curieux, mais aussi un jardin vivrier et pédagogique, héberge aussi la première culture de théiers en Pays de la Loire ! Cette plantation de thé initiée en 2018 montre bien que le théier, un camélia cousin de celui présent dans les jardins et parcs de notre région, se plaît dans ce climat tempéré océanique, doux et arrosé. La ferme abrite 5000 théiers de diverses variétés, dont les feuilles sont récoltées et transformées sur place pour donner essentiellement le fameux thé noir de Loire aux notes fleuries et miellées. Les Landes Vivantes,
Elle sera représentée par Thomas Bernardi, son créateur.

Jeremy Tamen est « tea expert et évaluateur sensoriel », il travaille pour des maisons de thé et des entreprises d’arômes alimentaires sur des projets autour du thé. Il travaille également avec des producteurs de thé, et crée l’Association Nationale pour la Valorisation des Producteurs de Thé Français (ANVPTF) qui a pour but de valoriser la filière du thé et les métiers du thé en tissant un réseau de producteurs et de partenaires, mais aussi par la reconnaissance et la formation professionnelle. Cette filière novatrice et opiniâtre grandit année après année, et a des besoins croissants parallèlement en termes de formation, de matériel spécifique, d’expertise, de solidarité aussi.

Marine Chotard est responsable du « projet thé » au lycée horticole d’Hennebont (Morbihan). En lien avec le producteur Filleule des fées de Languidic, et en partenariat avec le Jurong Professional College of Agriculture and Forestry (Jiangsu, Chine) pour un appui technique, le projet s’articule autour de 4 axes :
• la mise en place d’un verger conservatoire du thé conduit en Agriculture Biologique et extensive
• l’expérimentation autour de la production notamment lors des phases de multiplication et de gestion des adventices
• pédagogie et formation, l’objectif étant la création de modules de formation autour de la production et la transformation du thé
• la création et le développement de la filière du thé en Bretagne et en France.

Henri Ackermann est installé non loin de Vannes https://www.unpotierenbretagne.com/

« Après quelques années d’études à l’Unité Pédagogique d’Architecture de Nantes j’installe en 1975 mon premier atelier de poterie. Déjà à ce moment je commence à préparer mes terres au Fuillet en Maine-et-Loire : par ajout de kaolin je suis le premier à utiliser ces terres à haute température et à les émailler. Après un second atelier dans les vignes proches du Fuilet je m’installe à Champtoceaux au bord de la Loire entre Ancenis et Nantes. Dans cet atelier, aidé d’apprentis et de plusieurs collaborateurs, je produis des objets pour les arts de la table. Une boutique à Angers et une autre, saisonnière, à Préfailles m’assurent un débouché auprès d’un large public en France et à l’étranger. Aujourd’hui à la Poterie de Kerbelen ouverte en 2011 à Monterblanc je continue à préparer mes terres à partir de gisements locaux et mes couleurs sont également essentiellement obtenues à partir de matières premières bretonnes. La grande richesse minérale du massif armoricain offre à mon métier une autonomie d’approvisionnement d’une grande diversité, tout en donnant sens à un travail manuel respectant une dimension humaine. Une part importante de mon travail est aujourd’hui consacrée à la transmission de ces savoir-faire à travers des expositions, conférences et l’accueil de stagiaires pour des formations professionnelles. »

Aude Clabé est installée à Nouvoitou https://www.clabe-ceramique.fr/ 

« Potière formée en atelier, ma production évolue au gré des rencontres, humaines et des matières. D’abord orientée vers le tournage, je prends plaisir à retrouver les sensations du pinçage et du colombinage pour façonner mes pièces, plutôt utilitaires. La découverte de l’univers du thé m’ouvre de nouvelles perspectives.
Je prépare mes émaux avec des bases simples (feldspaths, kaolin, cendres de bois, cuivre et étain).
J’ai réalisé plusieurs cueillettes de terre, qui maturent. De nouvelles collections vous attendent pour cette fête du thé.
Mon activité comprend également la transmission, par des initiations au tournage ou des stages d’une semaine à l’école d’arts plastiques Terre et Feu, à Rennes. J’accueille également des stagiaires en formation initiale ou en reconversion. »

Michaela Kergavarat est installée à Livré-sur-Changeon. Plus d’infos sur Instagram et Facebook.

« Céramiste passionnée depuis plus de 20 ans, je suis depuis peu potière à plein temps. Travaillant essentiellement le grès et parfois la porcelaine en utilisant diverses techniques : modelage, estampage ou travail à la plaque, je passe beaucoup de temps sur le tour de potier pour la réalisation de pièces utilitaires, et donne également des cours de poterie. En constante recherche de terres locales et d’autres matériaux naturels pour faire évoluer la production dans le sens d’une démarche éco-resposable, je m’oriente plus particulièrement vers des créations destinées aux amateurs de thé.

Benoît Lamy est installé à Loguivy-Plougras https://www.kamagamiceramique.com/

« Céramiste autodidacte, le thé m’accompagne au quotidien. Sur un tour de potier, je crée des objets de thé à partir d’argiles récoltées dans la nature en Bretagne, que je prépare lors d’un long processus. Il m’arrive également de tourner d’autres grès et porcelaine du commerce. Ma pièce maîtresse est le kyusu, théière à manche latéral venue du Japon. Je réalise également divers ustensiles et accessoires complémentaires. Tout cela est rendu possible grâce à la maîtrise du feu et des hautes températures. Les cuissons au bois confèrent un caractère unique aux pièces pour faire de chaque dégustation de thé, un moment à part, une ode à l’éveil des sens. »

Thérèse Laumaillé, Loguivy-Plougras https://www.ateliertsukimi.com/

« Je suis céramiste, je récolte des argiles localement sur différents lieux en Bretagne et travaille également avec la porcelaine de Limoges pour sa translucidité.
C’est à partir d’une balle d’argile que je façonne et modèle à la main chaque pièce, puis elles sont cuites à haute température dans un four à bois. J’aime y mettre de l’intention, je leurs parle d’une certaine manière, c’est une partie de moi qui s’imprime geste après geste. Mes céramiques sont destinées à l’univers du thé, je m’inspire des objets traditionnellement utilisés en Asie. C’est un domaine que j’affectionne car il comporte une part sensible et spirituelle mais également pour sa diversité de formes pensées pour sublimer des thés aux identités très différentes. »

Aurélie Decouland, micatsugi

« J’ai découvert le kintsugi lorsque des bols en céramique auxquels je tenais particulièrement ont été cassés. Cette technique de réparation, inscrite profondément dans la cérémonie du thé, utilise des matériaux naturels et restitue l’usage utilitaire et alimentaire aux objets réparés. Il a la particularité d’intégrer les marques de l’accident dans l’esthétique du bol. Ainsi plusieurs temporalités sont données à voir sur le même objet. Laisser les cicatrices apparentes ont pour moi une signification forte : voir la réparation, le soin qui a été porté à un objet qui nous est cher, peut nous permettre de porter un regard plus doux sur nos cicatrices corporelles ou humaines. Ce geste de réparer contient également un aspect écologique dans le fait de faire durer un objet dans le temps plutôt que de le remplacer par un autre, nous permettant ainsi de sortir du cycle – produire – consommer – jeter. Dans cette même idée j’ai fait le choix d’adapter cette technique traditionnelle japonaise aux matériaux locaux, transformant ainsi la pratique du kintsugi en micatsugi.

Les cérémonies du thé

Le gongfucha 功夫茶, la cérémonie chinoise, avec Zhou Guihua

Les habitués la connaissent depuis plus de 10 ans que nous l’organisons une fois par mois à l’Institut. Depuis 2020, nous la proposons dans un salon de thé installé dans la bibliothèque de l’Institut. Pendant la Fête du thé, la maîtresse de thé Mme Zhou Guihua proposera de la découvrir – et de déguster quelques-uns des crus qu’elle fait venir chaque année de Chine. Théières et bols, temps d’infusion, accompagnements… tout change selon qu’on boit un thé blanc, wulong ou puer… Alors n’hésitez pas à venir vous installer à la découverte des gestes, des saveurs, des outils de ce rituel qui vise à exalter pour chaque thé ses arômes profonds.

Formée à l’École du thé du célèbre “Musée du thé de Chine” (中国茶叶博物馆 www.teamuseum.cn), dont elle a obtenu le diplôme de Maître de thé, Mme Zhou Guihua 周贵华 se rend chaque année dans différents lieux de production traditionnelle de thés célèbres afin d’en rapporter pour son atelier des crus prestigieux et de grande qualité ; elle porte en effet une attention particulière à l’environnement dans lequel sont cultivés les théiers, et privilégie notamment les crus issus de plantations biologiques ou à l’écart de toute source de pollution.

Plus d’infos la concernant : https://huawudang.fr/

de 14h à 18h, inscription directement sur place

Le chakai 茶会, la cérémonie japonaise, avec Oka Maliko

La cérémonie du thé est une partie du Chadô 茶道. Le Chadô ou Sadô, littéralement la voie du thé, est un art traditionnel inspiré en partie par le bouddhisme zen, dans lequel le thé vert en poudre (matcha) est préparé de manière codifiée par un praticien expérimenté et servi à un petit groupe d’invités dans un cadre calme. A l’occasion de la Fête du thé, une découverte sera proposée tout l’après-midi, pour que chacun puisse faire l’expérience de la cérémonie japonaise, découvrir le matcha et les douceurs qui l’accompagnent.

Mme Oka Maliko (Sôli) 岡まり⼦（宗利）est née à Osaka. Son arrière-grand-père était maître de Chadô. Elle a commencé le piano à l’âge de 5 ans et le Chadô à 18 ans puis a obtenu son diplôme d’enseignement dans ces deux disciplines. Elle a fait des études d’anglais et de français et s’est installée en France depuis 1990. Maliko enseigne le piano, le japonais et la culture japonaise, et elle présente régulièrement la cérémonie du thé. L’apprentissage du piano lui a naturellement conféré la gestuelle appropriée au Chadô : souplesse, précision et élégance. Elle vient de prendre une année sabbatique au Japon qui lui a donné l’occasion d’approfondir encore sa maîtrise du Chadô.

Plus d’infos : http://www.yuuga.fr/

cérémonie avec 10 participants

14h15 / 15h / 15h45 / 16h30 / 17h15 / 18h

inscription directement sur place

Bubble Ramen

Street food japonaise, Bubble tea, Salon de thé sont les trois facettes de cette boutique rennaise est située au 18 rue Vasselot à Rennes, qui sera présente cette année à la Fête du thé. Elle proposera le fameux thé aux perles de tapioca (le Bubble tea ou 珍珠奶茶), inventé au début des années 1980 à Taiwan et qui a connu depuis une popularité dans le monde entier, mais aussi quelques pâtisseries d’inspiration japonaise. Important : le thé est bio et les perles sont sans arômes ou colorants artificiels, Bubble Ramen se fournit essentiellement auprès de producteurs locaux engagés. Plus d’infos sur leur site internet.

La Route des Comptoirs

Globe-trotter dans l’âme et grand amateur de thés, François Cambell part à la rencontre des producteurs dans divers pays du monde et crée des contacts privilégiés au sein de coopératives. En 1997, il fonde La Route des Comptoirs où il propose des thés et infusions exclusivement biologiques, issus majoritairement de coopératives équitables. Aujourd’hui, l’entreprise nantaise emploie plus de cinquante salariés mais s’appuie toujours sur ses valeurs d’origine : le goût, le bio et l’humain. La volonté de cette PME est de toujours rechercher des ingrédients de qualité supérieure dévoilant des caractéristiques gustatives uniques. Toutes les recettes sont élaborées par leurs sommeliers maison et conditionnées dans leurs ateliers à partir d’emballages éco-responsables. La Route des Comptoirs propose plus de 250 recettes de thés & infusions distribuées dans près 3.000 points de ventes en France. Ces créations parfumées sont à découvrir dans leur maison de thé située dans le vignoble nantais au Landreau qui se visite. Toutes les infos sur leur site internet.

Seasonalitea

Dégustation et vente de thés proposées par Laurence Gillet

Après dix ans d’expérience en tant que directrice marketing au sein de maisons de thé renommées, j’ai eu envie de revenir à l’origine de ma passion pour le thé : le temps du thé et le temps du partage. J’ai créé les ateliers SEASONALITEA qui sont des espaces de rencontres et de découvertes de thés rares, et je propose des initiations aux différents rituels du thé. Ces ateliers vous permettront d’explorer le monde du thé et d’apprendre à préparer les thés selon différentes méthodes.

Qu’est-ce qu’un thé rare ?
Les thés rares possèdent des qualités remarquables (pays d’origine, période de récolte, procédé de manufacture ou encore palette aromatique) qui les distinguent des thés ordinaires. Ces thés sont cultivés dans des régions précises, sur de petites parcelles, cueillis avec soin et transformés selon des méthodes traditionnelles. Ce qui les rend intéressants c’est leur histoire, leur goût particulier et l’émerveillement qu’ils procurent. Souvent éphémères et produits en quantité limitée, les thés rares nous parlent du travail des femmes et des hommes qui les façonnent.

Concert de 14h à 15h dans le pavillon

avec Pan Hong, à la découverte du guzheng 古筝, la cithare chinoise

潘虹 PAN Hong est diplômée du Conservatoire de musique de Wuhan, avec spécialisation en interprétation musicale. Elle a plus de 20 ans d’expérience dans l’apprentissage et le jeu du guzheng, la cithare chinoise. Elle a participé à des tournées d’échanges culturels aux États-Unis et à Hong Kong, et a donné des concerts à de nombreuses occasions. Sa spécialité est de jouer du guzheng dans des ensembles de musique traditionnelle chinoise, pour accompagner de la danse ou de l’opéra chinois.

Sieste musicale de 16h à 17h et de 18h à 19h

avec DJ TUK TUK

Ce rennais d’adoption fait chauffer les dancefloors bretons au rythme de ses sons envoyés depuis son tuk-tuk aménagé, à base de hip-hop, reggae(ton) et world music revisités. À l’occasion de la Fête du thé, il nous propose un DJ set inédit aux allures de sieste musicale et de chill-out pour une ambiance calme et propice à la dégustation et à la méditation !

Les animations

Tout l’après-midi, des animations seront proposées au public autour d’activités qui accompagnent généralement la dégustation de thé.

•     dégustation d’œufs cuits dans du thé (cha ye dan 茶叶蛋)
•     atelier de confection de zongzi 粽子: riz gluant farci enroulé dans une feuille de bambou, en forme de triangle, cuit à la vapeur, c’est une spécialité confectionnée notamment à l’occasion de 端午节 duanwujie, la Fête des Bateaux-dragons du 5e jour du 5e mois lunaire dans le calendrier traditionnel chinois (cette année le 22 juin 2023).
•     calligraphie et peinture chinoises avec l’Institut Confucius et l’association Encres de Chine
•     initiation au jeu de go avec l’Ecole de go de Rennes
•     initiation au mahjong avec Breizh Mahjong

A la découverte du thé

Dans cet atelier proposé par Thomas Aubepart pour un groupe d’une dizaine de participants, vous ferez plus ample connaissance avec le thé : son histoire et ses traditions ; ses contes et légendes ; sa transformation et sa préparation… Ensemble, nous aborderons les différentes facettes du monde du thé à travers un voyage gustatif où tous vos sens seront sollicités. Vous apprendrez à identifier les 6 couleurs du thé, mais aussi à tout simplement préparer un thé réussi en toute circonstance !

14h30, 15h30, 16h30, 17h30

Atelier d’une heure pour 10 participants, inscription sur place directement

Visites guidées du jardin chinois

avec François Beau, charpentier et maître d’ouvrage des fabriques du jardin chinois : le pavillon 轩, la porte « aux fleurs tombantes » 垂花门, le portique 牌楼. Il vous fera découvrir tous les secrets de fabrication de ces ouvrages réalisées sans clous ni vis (ni colle !), et dont l’adaptation au contexte local a été un véritable défi technique.

à 16h et 18h (environ 15 minutes de visite)

Organisateurs

• Institut Confucius de Bretagne
• Les Agi’thés

Partenaires

• Encres de Chine
• Ecole de Go de Rennes
• Breizh Mahjong
• Comité de jumelage Rennes-Jinan
• Librairie Le Failler